L’administration des deux types de vaccins assure une meilleure protection contre la poliomyélite. La dose supplémentaire de VPI aidera d’autant plus à protéger votre enfant contre la poliomyélite – et votre enfant profitera des avantages des deux vaccins.
Les vaccins anti-COVID-19 autorisés pour une utilisation dans certains pays ont fourni, dans le cadre des essais cliniques dont ils ont fait l’objet, des informations sur leur niveau d’efficacité pour prévenir la maladie.
Les agences nationales de réglementation ont ensuite analysé les données fournies avant de procéder à leur autorisation. L’efficacité vaccinale est toujours étroitement surveillée, même après l’introduction d’un vaccin dans un pays. Seuls les vaccins qui ont démontré leur efficacité pour prévenir la maladie seront approuvés pour une utilisation dans la population.
En date de janvier 2021, il existe encore beaucoup d’inconnues relativement à la plupart des candidats vaccins anti-COVID-19 en cours de développement. Pour ce qui est des vaccins qui ont reçu des autorisations d’utilisation d’urgence, nous ne Cependant des pays comme Israël qui sont les champions de la vaccination COVID-19 ont mis sur pied des passeports COVID-19 d’une durée de validité de 6 mois qui laisse penser que la durée de la protection tourne autour de cette durée.
Le VPI et le VPO provoquent chacun une réaction immunitaire différente et ensemble, ils renforcent la protection de votre enfant.
L’OMS recommande que les vaccins anti-COVID-19 ne soient pas administrés au même moment que d’autres vaccins. Leurs administrations respectives devraient être séparées par une période d’au moins 14 jours. Cette recommandation peut évoluer au fur et à mesure que des données probantes supplémentaires sont mises à disposition. Tous les pays doivent poursuivre leur programme de vaccinations systématiques au cours de la pandémie, y compris la vaccination antigrippale dans les pays qui ont introduit ce vaccin, particulièrement dans les populations à risque.
Après l’injection, on peut constater éventuellement une légère rougeur et la peau peut être sensible.
Le papillomavirus humain (HPV) est l'une des infections les plus courantes de l'appareil reproducteur, responsable de toute une série de cancers et d'autres affections chez l'homme et la femme. Le HPV est la cause du cancer du col de l'utérus, le deuxième cancer le plus fréquent chez les femmes au Cameroun. Il constitue donc une cause importante de morbidité et de mortalité chez les femmes, et une priorité essentielle de santé publique mondiale. Le HPV est un virus extrêmement courant qui infecte la peau et les muqueuses, et presque tout le monde dans le monde est infecté par le HPV au moins une fois au cours de sa vie. Il existe de nombreux types de HPV et, bien que la plupart de ces infections ne provoquent aucun symptôme et disparaissent d'elles-mêmes, l'infection par certains types de HPV à haut risque peut s'aggraver et se transformer en cancer. Outre le cancer du col de l'utérus, le HPV peut également causer divers autres problèmes de santé chez les hommes et les femmes, comme de multiples autres types de cancer et de verrues génitales, et le virus peut également se propager par des moyens non sexuels. Il existe des vaccins sûrs et efficaces qui préviennent l'infection par le HPV.
Tant que la poliomyélite n’est pas éradiquée à l’échelle mondiale, le VPO reste la principale mesure de prévention de cette maladie. Le VPI est recommandé en plus du VPO ; il ne remplace pas le VPO.
Plus de 100 types de HPV ont été identifiés et plus de 40 types qui infectent le tractus génital. Certains d'entre eux ont été classés par le Centre international de recherche sur le cancer comme "à haut risque" (cancérogène) chez l'homme. Les HPV-16 et HPV-18 sont les deux principaux types cancérogènes, responsables de près de 70 % des cancers du col de l'utérus. Les types de HPV 31, 33, 45, 52 et 58 représentent ensemble 15 % des cancers du col de l'utérus. Les HPV-6 et HPV-11 sont les deux principaux types "à faible risque" (non cancérogènes), qui provoquent des verrues génitales.
Il est important – et préférable – pour votre enfant qu’il reçoive le VPI et le VPO. Administrés ensemble, ces deux vaccins assurent une protection forte et sans risque contre la poliomyélite. Si votre enfant ne reçoit qu’un seul de ces vaccins, il ne sera pas aussi bien protégé.
Administrer plusieurs vaccins à un enfant pendant une seule séance permet à votre enfant d’être immunisé le plus tôt possible. Cela lui confère une protection pendant les premiers mois de sa vie où il est vulnérable. De plus, administrer plusieurs vaccins en une fois signifie moins de séances de vaccination pour les parents et les personnes responsables de nourrissons.
Injecter à votre enfant trois vaccins (ou plus) en une seule séance est sans risque. De nombreux pays ont des calendriers de vaccination prévoyant l’administration à votre enfant d’injections multiples de vaccins en une seule séance.
Non. De nombreuses études ont montré que l’administration de plusieurs vaccins en une seule séance n’entraîne pas une augmentation de l’incidence des manifestations indésirables.
Même si des injections multiples de vaccins en une fois sont douloureuses, devoir revenir plus tard pour des vaccinations supplémentaires signifie pour l’enfant de souffrir une deuxième fois. Il vaut mieux pour l’enfant un bref moment de gêne que ressentir une douleur à deux occasions différentes.
Non, il est plus sûr pour votre enfant de recevoir tous ses vaccins en une fois. En étalant les vaccinations, on laisse les nourrissons sans protection pendant plus longtemps.
Le VPI assure une protection supplémentaire importante contre la poliomyélite ; il protège à la fois votre enfant et les enfants de notre communauté.
Le VPI est l’un des vaccins les plus sûrs pour les humains.
Oui. Le VPI n'interfère pas avec d'autres vaccins et il est tout aussi efficace administré seul qu’associé à d’autres vaccins.
Non. Les enfants sont exposés quotidiennement à de nombreuses bactéries et virus dans leurs aliments et lorsqu’ils jouent. Les vaccins n’ajoutent pas de charge significative sur le système immunitaire.
Il n’existe pas encore de vaccin contre le Covid-19. Les vaccins du PEV sont régulièrement offerts aux enfants de 0 à 23 mois et femmes enceintes bien avant l’apparition du Covid-19. Les vaccins du Programme Elargi de Vaccination protègent contre au moins 12 maladies souvent mortelles pour les enfants. Continuons de faire vacciner nos enfants dans les centres de santé.
Les vaccins font l’objet d’un contrôle et d’un suivi rigoureux à tous les niveaux. Ils sont administrés de façon appropriée par des personnels bien formés qui vérifient leur qualité. Vaccinons les enfants ! Ne laissons pas la COVID 19 gâcher l’avenir de nos enfants. Les vaccins du Programme Elargi de Vaccination protègent contre au moins 12 maladies souvent mortelles pour les enfants. Continuons de faire vacciner nos enfants dans les centres de santé.
Dans les formations sanitaires, toutes les mesures nécessaires sont prises pour assurer une vaccination sans danger des enfants. Les mères ou parents qui viennent au service de vaccination doivent porter leur masque de protection ainsi que toute personne qui les accompagne. Un dispositif de lavage des mains existe dans chaque service de vaccination. Les bancs pour les mères ou parents qui attendent sont prévus dans le respect de la distanciation physique. Le personnel qui vaccine dispose d’un masque de protection et de tout le matériel nécessaire pour assurer la qualité du vaccin qui est administré aux enfants : portes vaccins, pastille de contrôle du vaccin. Continuons de vacciner nos enfants dans les centres de santé. C’est gratuit et efficace. Aller au centre de santé pour la vaccination des enfants, c’est utile pour leur santé.
En tant que leader communautaire, votre implication est déterminante pour la vaccination. Votre engagement contribue à ce que votre communauté soit protégée. Vous devez continuellement soutenir la vaccination dans votre quartier, votre commune en encourageant les membres de votre communauté à adhérer à la vaccination. Pour une communauté sans maladies, vous devez vous engager pour la vaccination des enfants.
Oui
1 Est-ce que le vaccin contre le HPV affecte la fertilité Non, le vaccin contre le HPV n'affecte pas la fécondité d'une fille (la capacité d'avoir des enfants).
Non, le vaccin contre le HPV n'affecte pas le comportement ou l'orientation sexuelle d'une jeune fille . Est-ce que le vaccin contre le HPV affecte le comportement sexuel ?
Il n'existe aucun traitement antiviral de l'infection par le HPV. Mais il existe des traitements pour des problèmes de santé qu'elle peut causer, y compris le traitement des lésions précancéreuses du col et des lésions cervicales cancéreuses. L’infection par le HPV peut-elle être traitée ?
Le cancer du col prend beaucoup de temps à se développer (généralement entre 10 et 20 ans) après infection par le HPV. La plupart des infections au HPV se produisent rapidement après le début de l'activité sexuelle ; Par conséquent, il est important de vacciner les jeunes filles avant que l'infection à HPV ne se produise. Le vaccin est aussi plus efficace chez les filles âgées de 9 à 13 ans. Pourquoi le vaccin contre le HPV est-il administré aux filles de 9 ans si le cancer du col de l’utérus ne touche les femmes que plus tard dans la vie ?
Les femmes plus âgées peuvent-elles recevoir le vaccin contre le HPV ? Le vaccin contre le HPV n'est pas recommandé au-delà de l'adolescence. Il y a d'autres mesures que les femmes plus âgées peuvent prendre pour réduire leur risque de cancer du col de l’utérus comme, en utilisant le préservatif, et faire le dépistage du cancer du col de l’utérus. elles peuvent également réduire le risque de cancer en s'abstenant de fumer.
Il n’existe pas encore de vaccin contre la Covid-19. Les vaccins du Programme Élargi de Vaccination sont régulièrement offerts aux enfants de 0 à 23 mois et femmes enceintes bien avant l’apparition de la Covid-19. Les vaccins du PEV protègent contre au moins 12 maladies souvent
Dans les formations sanitaires, toutes les mesures nécessaires sont prises pour assurer une vaccination sans danger des enfants. Les mères ou parents qui viennent au service de vaccination doivent porter leur masque de protection ainsi que toute personne qui les accompagne. Un dispositif de lavage des mains existe dans chaque service de vaccination. Les bancs pour les mères ou parents qui attendent sont prévus dans le respect de la distanciation physique. Le personnel qui vaccine dispose d’un masque de protection et de tout le matériel nécessaire pour assurer la qualité du vaccin qui est administré aux enfants. Continuons de vacciner nos enfants dans les centres de santé. C’est gratuit et efficace. Aller au centre de santé pour la vaccination des enfants, c’est utile pour leur santé.
En tant que leader communautaire, votre implication est déterminante pour la vaccination. Votre engagement contribue à ce que votre communauté soit protégée. Vous devez continuellement soutenir la vaccination dans votre commune, village ou quartier en encourageant les membres de votre communauté à adhérer à la vaccination. Pour une communauté sans maladies, engagez-vous pour la vaccination des enfants.
La qualité du vaccin est garantie par l’Organisation Mondiale de la santé (OMS) et l’UNICEF. C’est le même vaccin qui est utilisé au Cameroun, dans tous les autres pays de l ’Afrique et du monde. Donc, il n’y a pas d’inquiétude.
Tous les cas de paralysies flasques aiguës identifiées, ont été constatés chez des enfants non vaccinés. Les enfants vaccinés sont protégés contre la poliomyélite.
FAUX
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FAUX
Le vaccin oral contre la polio a été utilisé par presque tous les pays du monde pour éradiquer le poliovirus. Il est de bonne qualité et est administré gratuitement aux enfants durant les campagnes polio et dans hôpitaux. Ce vaccin est gratuit pour permettre à tous les enfants (riches ou pauvres) d’avoir les mêmes chances d’être protégés des paralysies causées par le poliovirus.
FAUX
FAUX
Le vaccin contre la polio est sûr et efficace. Il est de bonne qualité et n'a pas d'effets secondaires. Si par coïncidence l’enfant fait de la fièvre après la vaccination au cours de la campagne polio, conduisons-le au centre de santé le plus proche pour une prise en charge gratuite.
FAUX
Les vaccinateurs sont des personnes sélectionnées parmi les meilleures de notre communauté et formées pour assurer la vaccination de vos enfants. Vous pouvez leur faire confiance.
FAUX
En mars 2021, certains vaccins contre la COVID-19 ont été autorisés dans certains pays certains pays. L'OMS a également accordé une autorisation au vaccin Pfizer/BioNTech, à deux versions des vaccins Astra Zeneca/Oxford - SKBio et Serum Institute of India - et au vaccin Janssen. D'autres vaccins continuent d'être testés et étudiés.
L’innocuité (caractère de ce qui est inoffensif pour la santé) est toujours une priorité majeure, et ce n’est pas différent pour les vaccins anti-COVID-19. Tous les vaccins passent par différentes phases d’essais cliniques avant d’être approuvés pour une utilisation dans la population. Ces essais visent à garantir l’innocuité du vaccin et sa capacité à protéger contre la maladie (efficacité).
Les vaccins développés contre la COVID-19 suivent les mêmes phases de mise au point. Les vaccins anti-COVID-19 ne seront pas approuvés et offerts dans les pays pour une utilisation dans la population générale avant que leur innocuité n’ait été prouvée auprès des agences de réglementation. De la même manière, l’OMS n’autorisera aucune utilisation au titre de la procédure pour les situations d’urgence avant d’avoir analysé toutes les données des essais. À l’issue de l’approbation des vaccins anti-COVID-19, la surveillance de leur innocuité se poursuit. Cette surveillance est une composante habituelle des programmes de vaccination et elle existe pour tous les vaccins.
Les vaccins à ARNm fournissent à notre organisme les instructions nécessaires pour que celui-ci produise une petite partie du virus, laquelle déclenche une réaction de protection de la part de notre système immunitaire.
Ces vaccins sont nouveaux, mais non méconnus. Les chercheurs les ont étudiés et ont travaillé sur eux depuis des décennies pour combattre d’autres maladies, comme la grippe et la maladie à virus Zika.
Les vaccins à ARNm sont tenus aux mêmes normes rigoureuses d’innocuité que tous les autres vaccins. Les vaccins ne sont pas approuvés et déployés pour une utilisation dans la population générale avant une analyse approfondie des données d’innocuité par l’OMS et les agences de réglementation.
Non. Les vaccins établissent une immunité/résistance, protection sans avoir les effets nocifs potentiels de la COVID-19, parmi lesquels des effets à long terme et le décès. Permettre à la maladie de se répandre jusqu’à ce que l’immunité de groupe soit atteinte pourrait entraîner des millions de décès et même un plus grand nombre de personnes vivant avec les effets à long terme du virus.
À ce jour, les travaux de recherche se poursuivent pour déterminer la durée de l’immunité (protection) conférée par les vaccins anti-COVID-19 mis à disposition. De plus, la protection des vaccins contre les nouveaux variants du SARS-CoV-2 est toujours à l’étude. Nous obtiendrons la réponse à cette question, et à d’autres, quand nous aurons à notre disposition un plus grand nombre d’études portant sur les populations vaccinées. Ces études permettront de déterminer si des vaccinations annuelles ou des vaccinations avec des périodicités différentes seront nécessaires.
Oui, c’est possible. En fait, il est possible qu’un pays soit dans la nécessité d’utiliser des vaccins provenant de différentes plateformes ou de différents fabricants. Pour cette raison, l’OMS a recommandé de renforcer les systèmes d’enregistrement des vaccinations. Cet enregistrement est un élément clé pour suivre le type de vaccins reçus par chaque personne et garantir un suivi de l’administration de la seconde dose
Avec le soutien de l’OMS, le Cameroun travaille à renforcer et à intensifier les systèmes de surveillance afin de déterminer toute manifestation post vaccinale indésirable/ manifestation post immunisation (MAPI), et y riposter rapidement. C'est une étape systématique au moment d’introduire un nouveau vaccin dans les calendriers vaccinaux nationaux systématiques, afin de surveiller son innocuité et son efficacité. C’est une démarche déjà en routine pour d’autre vaccin suivi par le Programme Elargi de Vaccination.
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